La qualification pour le second tour de l’élection présidentielle va sans doute se jouer dans un mouchoir de poche. En 2002 déjà la différence entre Jean-Marie Le Pen et Lionel Jospin était de moins de 200 000 voix. Cela ne représente que quelques milliers de voix pour un département comme les Alpes-Maritimes.
Dans cette situation, face à nous, les forces de l’argent, les experts et autres éditorialistes au service des marchés financiers se mobilisent pour éviter que l’on puisse remettre en cause leur « liberté » d’exploiter et de spéculer. Tout va compter jusqu’au bout ! Toutes les voix sont importantes.
Jusqu’à dimanche soir, il faudra s’assurer que les enfants rentrent assez tôt de leur week-end ou des vacances pour aller voter. Que les grands-parents puissent se déplacer, que tous les amis et voisins qui avaient manifesté de la sympathie pour le programme de Jean-Luc Mélenchon ont confirmé cette sympathie en vote.
Jusqu’à dimanche soir 20h00 on ne lâche rien !
Robert Injey