Un second tour tel que nous le connaissons, avec le FN en piste, est toujours compliqué pour beaucoup d’électeurs et d’électrices de gauche.
Pour en avoir connu une dizaine, au moins, depuis 1995 sur Nice, ma petite expérience m’amène à constater qu’à l’égard de beaucoup d’électeurs, c’est très contreproductif de jouer sur la culpabilisation sur le ton « il faut »., Il y a besoin avant tout d'aider à un cheminement dans la réflexion d’un vote «impossible » à un vote « pour faire barrage ». Il y a donc besoin de rester en dialogue et de prendre le temps que les arguments puissent s’enrichir et infuser. Il y a encore quatre jours cela fait beaucoup de discussions et d’échanges à avoir…