Communiqué de presse
Le Conseil d'administration de la SEMIACS lundi 9 juillet n'a pas été utile à grand chose. Certes à son ordre du jour il y avait un seul point : « Constatation de la suspension des fonctions de directeur général de M. Henri Alonzo (...)»
Pour autant le traitement de M Alonzo lui est conservéau prétexte, selon M Kandel, qu'« il ne recevait aucun traitement comme directeur mais seulement comme directeur de ressources humaine, et que la justice lui avait seulement interdit d’exercer les fonctions de directeur »
Argument pour le moins complaisant car, avec raison, Mme Emmanuelle Gaziello a objecté qu’empêché par la justice d’approcher de l’entreprise SEMIACS, il ne pouvait plus, de fait, exercer les fonctions de directeur des ressources humaines.
Dans l’intérêt de l’entreprise et de ses salariésMme Gaziello a proposé au CA une mise à pied conservatoire, sans traitement.
Une proposition refusée, qui aurait mis un pied d'égalité entre les salariés car MmeJamouli, plaignante, a été mise à pied –avec perte de salaire- par la direction de la SEMIACS à titre conservatoire depuis le 26 mai.L'iniquité de traitement serait-elle de mise à la SEMIACS ?
Aberration un nouveau directeur par intérim va être recruté. Ainsi, l’entreprise paye deux fois pour le même poste !!
Les interventions de la justice et l'exigence de transparence d'Emmanuelle Gaziello semblant gêner beaucoup de monde, celle-ci a été l'objet de menaces verbale et physique aux abords du lieu de réunion du Conseil d'administration. Ces méthodes scandaleuses, dignes de pratiques mafieuses, ne sont pas pour nous étonner et n'entament en rien notre détermination sur ce dossier. Nous y donnerons une suite sur le plan judiciaire.
Robert Injey
Président du groupe communiste et Front de gauche, conseil municipal de Nice